Mariage à Merida

Voici LA grosse journée !
D’abord, tout ranger et nettoyer dans l’appartement de Séville et prendre un taxi pour l’aéroport. Ne PAS y prendre l’avion, mais louer une voiture. Nous avions réservé chez Pepecar, qui était largement le moins cher. Bon, en contrepartie ils n’ont pas de bureau dans l’aéroport mais juste un gugusse avec une pancarte Pepecar, et un autre qui nous emmène en minibus. La voiture n’est pas très propre, n’a plus d’enjoliveurs, et son clignotant reste parfois coincé.

Colt

Peu nous chaut, et nous filons vers Merida. Nos essais avec la clim ne donnent pas grand-chose, et nous finissons par la couper et ouvrir les fenêtres. (Nous comprendrons plus tard qu’il faut ouvrir les ouïes d’aération pour que l’air froid parvienne jusqu’à nous…)

Après deux heures de route où Iris n’a pas manqué de s’endormir, nous arrivons à notre gîte, et nous y retrouvons Florence (sœur du marié) et Olivier, et leurs deux filles. Un repas pris rapidement, et vite une sieste. Sauf que Gaël refuse toujours obstinément de s’endormir, et Iris également puisqu’elle a déjà dormi dans la voiture !

Bon, tant pis, on habille tout le monde et on part pour la chapelle à 19h, la cérémonie étant à 20h. (On vous a déjà parlé des horaires espagnols, non ?) Après une messe en espagnol (parsemé de quelques passages en français : on a pensé à nous !) où les éventails ont fonctionné à plein régime, nous reprenons la voiture pour un hôtel-restaurant 5* : le somptueux Melia Merida.

Le vin d’honneur est donné dans le hall, avec tapas et boissons à volonté. Les gamins, qui à part les enfants des mariés sont tous français, en profitent pour s’organiser des parties de cache-cache, ou de chats très évolués.

À table, les plats sont délicieux, mais nous n’avons pas gardé le menu alors on ne se risquera pas à écorcher leurs noms ! Le “trou” local (cava – un champagne à l’espagnol – et boule citron) fait très bien passer le tout.
Les enfants ont leur table à eux, apparemment assez animée (mais très éloignée de la table des francophones, donc on n’a pas bien suivi l’affaire…). Ils ont aussi leur propre menu, que là je peux reproduire sans risque : charcuterie, steak-frites, glace et gâteau au chocolat !

Iris s’écroule vers minuit, mais Gaël fera le fou avec ses collègues jusqu’à 2h du matin, fin du repas, où Anne criera grâce et où nous rentrerons tranquillement à notre casa rural.

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