Voici quelques photos de notre après-midi au parc du coteau, à Gentilly.
Archives mensuelles : septembre 2007
Attente mouvementée
Nous avons eu une fausse alerte en fin de semaine dernière : vers 2h du matin, des contractions pas très fortes, mais régulières et rapprochées.
Au bout de deux heures de ce petit jeu, comme elles devenaient plus fortes, on décide d’y aller !
- On ramasse le cartable de Gaël, des fringues pour les enfants et on fourre tout dans un sac
- On les réveille et on les emmitoufle. Gaël est tout excité, Iris ronchonne, pleurniche puis se déride et ils sont tout fous
- On trimballe tout ça dans la voiture et on va à côté, chez Colin et Erin, dont les parents avaient accepté de nous dépanner (les pauvres !)
- Au bout d’un coup de fil et de quatre ou cinq de sonnettes, on arrive à les réveiller et à larguer notre chargement.
- À la maternité, en bas de la rampe du parking, on s’aperçoit que celui-ci est fermé ! En voulant faire demi-tour, le pare-choc arrière rencontre malencontreusement un poteau jusque-là invisible. C’est le premier coup sur la Kangoo !
- On arrive finalement au bloc, où Anne est mise sous monitoring.
On passe le temps en regardant les contractions sur l’écran.
Après une heure, il faut se rendre à l’évidence : rien ne vient. La sage-femme nous renvoie chez nous, tout dépités.
Il est maintenant 6h, et on s’octroie une heure de sommeil avant de retrouver les enfants chez les voisins.
Depuis, nous faisons venir mère et belle-mère en alternance, au cas où le cas se représenterait avec un peu plus de résultat.
Malheureusement, nous n’avons toujours rien à vous annoncer pour l’instant…
À suivre
Le bon mot du jour
Les enfants sont en train de farfouiller dans le panier à jouets du salon.
Iris : Qu’est-ce qu’on cherche, là ?
Gaël : Ben… Tu verras bien quand on l’aura trouvé !
Deux histoires en live
Double rentrée
C’est le grand jour !
En se levant, Gaël est déjà tout fou, tout content de retrouver ses potes à l’école.
Iris, elle, pleurniche qu’elle ne veut pas y aller.
Tout se déroule donc suivant les prévisions…
Arrivés au bout de la rue, on se sépare : Anne emmène Gaël au CP, et moi je me charge d’Iris, qui s’est légèrement résigné depuis.
Avant d’arriver dans la cour, Gaël demande à Anne de récupérer son cartable (très lourd avec toutes ses fournitures), pour ne pas avoir l’air d’un assisté auprès des copains… La maîtresse est un peu affolée de voir qu’il a le bras dans le plâtre. Ça n’émeut pas Gaël, qui dit à peine au revoir à sa mère avant d’aller discuter avec toutes ses copines.
Côté maternelle, on monte dans la classe et on dépose le manteau au portemanteau et Gros Nounours dans la caisse à doudous. Iris va beaucoup mieux, et elle est plutôt contente. On fait le tour de la classe, et elle flashe sur le coin cuisine, puis sur la petite ferme. Je reste une dizaine de minutes, mais comme elle ne s’occupe déjà plus de moi, je lui fais une bise et m’eclipse, soulagé !
Ce midi, en allant les récupérer, ils ont tous les deux l’air ravi.
Gaël nous explique qu’ils ont appris les chiffres et écrit leur nom, et Iris qu’elle a fait de la peinture.
L’après-midi, seul Gaël retourne à l’école pendant que toutes les filles se reposent.
Et ce soir, il a eu ses premiers devoirs : écrire deux fois son nom en attaché ! Il était tout fier et a fait du mieux qu’il a pu avec sa main gauche.
Avant de se coucher, il a également tenu à lire quelques pages de son livre de lecture. Il a fini par le fermer en déclarant : “Bon, demain c’est mercredi ; j’aurai tout le temps de lire le reste !”