Installing kitchen… Almost there!

Ça avance bien, merci ! Le week-end sans évier, c’est quand même pas très pratique. Mais on s’est fait inviter chez des copains pour ne pas avoir à trop utiliser le micro-onde. Ah oui, et les œufs durs cuisent très bien dans la bouilloire électrique !

Mais aujourd’hui une grande étape a été franchie : le fameux robinet est installé — avec son évier tout neuf ! Vous noterez qu’il n’a aucun joint : le bac se transforme en évier, qui se transforme en plan de travail. Vive les cuisines modernes !

Du coup, on n’est plus obligé de grimper à l’étage pour remplir la carafe, ni de faire la vaisselle dans le lavabo de la salle de bain… Génial !

* A SUIVRE ! *

Installing kitchen… Please wait

Les enfants (et Anne !) sont en vacances cette semaine. Mais c’est avant tout la semaine où on nous installe la cuisine !

Ça a en fait commencé vendredi, où on nous a livré… 120 paquets ! Bon, OK, chacune des 29 poignées comptait comme un paquet, mais également le four ou le lave-vaisselle, qui sont un peu plus imposant, dans notre salon. On arrive encore à regarder la télé, par miracle.

Lundi, un ouvrier est venu et a tout enlevé : placards hauts et bas, hotte, carrelage du mur, sol, etc. Il a juste laissé l’évier et l’électro-ménager, parce qu’il n’est pas habilité à toucher à la plomberie.

Mardi, c’est l’arrivée de la poussière ! Le mur entre la cuisine et le salon n’existe plus. On se réfugie dans le fond du salon, un peu isolé par des bâches, pour manger des plats au micro ondes. Ah oui, c’est aussi le jour qu’a choisi l’aspirateur pour nous lâcher ! La pièce de rechange devrait arriver dans quelques jours, mais ça tombe plutôt mal…

Mercredi on continue dans la poussière, avec l’électricien qui fait des tranchées dans les murs qui restent, et la porte de la cuisine qui est remplacée par une cloison. L’évier a disparu, donc on fait la vaisselle dans le lavabo de la salle de bains… De toute façon, il n’y avait ni eau ni électricité toute la journée, donc le midi c’était tartines de pâté !

* A SUIVRE ! *

Un tour chez le photographe

Ça s’est passé il y a un an, mais on a mis un peu de temps à s’en remettre…

À une tombola de l’école primaire (vous savez, celles où on ne gagne jamais rien), nous avons… gagné un bon pour une photo gratuite chez un photographe professionnel ! On était bien content, et on y est allé tous ensemble un dimanche matin.

Le photographe était vraiment très sympa. Il nous a fait mettre pieds nus, pour qu’on soit plus à l’aise et naturels. Et dans son studio, il nous a installés, éclairés, déplacés, manipulés très gentiment tout en papotant. Nous avons fait des photos de nous tous, dans différentes poses, puis des trois enfants, puis de chaque enfant — en suivant son conseil de les prendre en noir et blanc et sur fond noir, pour qu’ils ressortent bien. On y a passé une bonne heure, et c’était vraiment un moment agréable en famille.

Ensuite, il a fait une petite sélection rapidement, puis nous a installés dans sa pièce de projection pour qu’on sélectionne celles qui nous plaisaient le plus. On en a extrait cinq, non sans difficulté.

Puis est venu le moment délicat… On avait droit à une photo gratuite, mais évidemment on pouvait en choisir d’autres et les payer. Mais les prix étaient hal-lu-ci-nants ! Il a commencé par nous donner l’exemple de l’immense impression sur toile de 1m de haut, à environ… 1500£ ! En plus, il nous donnait les prix d’une manière très peu compréhensible, après tout un tas de dimensions dans des unités bizarres et en détachant chaque chiffre: “32 pouces par 16 pouces, pour 4-5-2 !” et il faut comprendre 452 £. Et tout ça en anglais, évidemment.
Pour être honnête, il ne nous a jamais poussés à acheter. Mais ces photos, on avait passé du temps à les faire, à les admirer, à les choisir, et ne rien acheter voulait dire tout jeter à la poubelle et ne plus jamais les voir.
On s’en est sorti avec quelques centaines de pounds en moins, et quelques magnifiques encadrements en plus, mais aussi un certain sentiment de nous être fait berner dans l’histoire !

En insistant un peu, il a également accepté de nous envoyer les versions électroniques — en basse résolution, pour être sûr qu’on n’aille pas les faire développer ailleurs — et je vous les livre ici, gratuitement et sans vergogne !