Nous sommes déjà allés à Nigloland il y a un an et demi (souvenez-vous !) et les deux grands en avaient un souvenir ébloui.
Pour Halloween par contre, leur référence était notre séjour en Angleterre de l’année dernière (souvenez-vous encore !), et Iris aurait bien voulu qu’on y retourne.
Pour les consoler de ne pas pouvoir y aller cette année, on a décidé de retourner à Nigloland, en revenant de notre séjour ardéchois.
Retour donc au fameux Hôtel des pirates, cette fois-ci encerclé de citrouille, de toiles d’araignées et de squelettes bien flippants.
Mais il nous fallait d’abord dîner, et les tarifs de l’hôtel étant vraiment hallucinants, on reprend la voiture pour aller à Bar-sur-Aube. On cherchait plutôt une pizzeria quelconque, mais le seul restau qu’on trouve ouvert en ce dimanche soir est… le restau chinois où nous avions atterris la fois précédente ! On y retourne avec plaisir, d’autant qu’il est toujours aussi vide et accueillant.
Zoé s’endort dans la voiture au retour, et seuls les deux grands profitent donc du spectacle de magie offert à l’hôtel.
Le lendemain matin, on est au parc dès l’ouverture.
Mais en entrant, Zoé pousse des hurlements de terreur : on est obligé de traverser un comité d’accueil de vampires et monstres divers ! Elle mettra un moment à s’en remettre.
Pour les attractions par contre, ce n’est pas la dernière à apprécier celles qui secouent un peu ! Pour les connaisseurs (coucou Anne ;-)), elle a adoré la chenille ou les bateaux canadiens. Mais toujours pas les dinosaures animés.
Les deux grands enchaînent un peu tout. Iris accepte même d’aller dans le train fantôme, plutôt impressionnée, mais en fermant les yeux tout du long !
L’après-midi, ils commencent à ronchonner parce qu’il y a du monde et qu’il faut faire la queue… C’est vrai que sur la fin, il nous arrive d’attendre jusqu’à 1/2 heure.
C’est à ce moment-là que pour s’occuper, on tire un peu sur la dent d’Iris, qui finit par céder !
Avec l’aide d’un spectacle de caniches savants, on parvient à les faire tenir jusqu’à la fermeture du parc.
On retourne à notre voiture bien contents, mais certains maintenant qu’on a fait des enfants un peu agoraphobes !