L’Angleterre, l’autre pays de la rhubarbe…

En fait, je ne suis pas sûre que mon titre soit bien choisi… Il n’y a peut-être pas de plus grand pays de la rhubarbe que le Royaume-Uni 🙂 Je n’avais jamais vu avant d’arriver ici autant de tiges de rhubarbe en vente dans les supermarchés, en frais, en surgelé, ou bien sous forme de desserts déjà cuisinés : tourtes pommes-rhubarbe, ou encore mieux fraises-rhubarbe… Miam !
Donc nous n’avons pas été étonnés à l’automne de trouver au fond de notre tout nouveau jardin un pied de rhubarbe en fin de vie. Il a gentiment disparu pendant l’hiver, puis a fait son apparition, de nouveau, avant même la fin des grands froids, en février.
Et depuis quelques jours que le printemps se fait vraiment sentir, il est devenu ça :

Pour info, Zoé mesure 1 mètre exactement 🙂 Je fais pas mal de tourtes et de compotes, et je distribue, aussi, car à la maison, aucun des trois enfants n’aime ça. Accessoirement, cette belle plante sert aussi à Zoé pour jouer à cache-cache. Bref, la plante idéale, qui pousse toute seule sans effort de notre part. Je sens que ça ne va pas être la même chanson avec les tomates (pff, merci les limaces qui ont mangé toutes mes petites pousses 🙁 )…

Bonus track : en prenant la photo, je demande à Zoé si elle ne veut pas ses lunettes de soleil, car elle a la lumière en pleine figure. Réponse de l’intéressée : “Non non, il faut que les gens voient qu’il y a tellement de soleil que ça fait mal aux yeux !” C’est tellement exceptionnel, il faut dire 😉
Bonus track n°2 : donc il a fait chaud ses derniers jours (aux alentours de 18°C), et Iris, au soleil dans le jardin dit : “Quand même, c’est agréable la chaleur. Je me ferai bien une petite canicule à 20°C cet été, en France, moi”. Voilà, voilà, voilà… 20°C, canicule, mais bien sûr ma fille ! Les Marseillais, je préfère vous prévenir, ça va être dur pour les filles chez vous au mois d’août 🙂