C’est le grand jeu du moment : empiler des petits cubes en carton (elle atteint parfois des hauteurs impressionnantes !), tout faire tomber et recommencer.
Comme on ne voudrait pas que vous manquiez ça, on en a fait une petite vidéo.
Vous remarquerez qu’elle dit très bien le mot pied !
Archives de l’auteur : Samuel
Une journée à la mer
Pour profiter de ce dernier week-end prolongé, on avait envie de se changer les idées, donc d’aller voir ailleurs.
On était d’abord parti pour un week-end à Bruxelles, mais plusieurs choses nous ont fait changer d’avis : l’état de fatigue générale des enfants, l’envie d’aller plutôt se mettre au vert et le fait que le Thalys n’est pas fichu de prendre les chèques vacances.
Après avoir passé une douzaine de coups de fil infructueux pour trouver un gîte n’importe où mais pour juste une nuit, c’est Anne qui a eu la bonne idée : et si on allait une journée à la mer ? Une carte et un compas nous donnent le point le plus proche de notre banlieue : c’est Deauville qu’il nous faut !
Départ à 9h, arrivée sur l’A13, et là… bouchon ! Malgré les prévisions verdâtres de Bison Futé, les trois voies de l’autoroute sont coincées.
Après deux heures de ce régime, péniblement parvenus à Mantes-La-Jolie, on décide de changer de mer !! On bifurque vers Beauvais, et après une petite pause déjeuner, on refait le coup du compas et on se retrouve vers 14h à Quend-Plage-les-Pins ! Ça ne s’invente pas.
On n’est pas les seuls d’ailleurs : toute la Somme et la moitié de l’Oise s’y est donné rendez-vous pour profiter de cette belle journée.
La plage est immense, Gaël s’amuse dans les rouleaux, Iris fait du karaté contre les vagues, Zoé nage à plat ventre dans le sable fin et on prend tous de belles couleurs.
Vers 19h, on remballe nos affaires pleines de sable et on se pose dans une crêperie / moule-friterie.
Et après un tour de manège final (enfin… trois, vu que nos enfants sont très forts en attrapitude de queue de Mickey), on reprend la voiture vers 21h devant un magnifique coucher de soleil rouge.
Finalement, le seul vrai regret de cette journée bien mal partie est d’avoir oublié l’appareil photo, et de n’avoir donc rien à vous montrer 🙁
La blague du jour
Hier, on regardait encore une fois Microcosmos, et le jeu est bien sûr de reconnaître les bestioles qui passent à l’écran.
À un moment, une espèce de diptère butine une fleur.
Iris : C’est quoi ça ? Un moustique ?
Un parent : Mais non ! Regarde : il est gros et il a plein de poils
Iris : Alors c’est un moustique polaire ?
Paris bof…
Hier, jour férié, nous avons décidé de faire un tour à Paris pour aller y vois l’exposition Calder à Beaubourg.
Les enfants se retrouvent dans le RER ravis, on fait d’abord un tour de l’inévitable fontaine Stravinsky puis on avise l’entrée du Centre. Et là… on aperçoit une queue immense, traversant toute l’esplanade.
On s’approche pour voir, et l’horreur grandit encore : la file n’avance pas ! L’entrée est bloquée par le service d’ordre, qui nous dit qu’il y a trop de monde à l’intérieur, et que l’attente est de bien plus qu’une heure.
On essaie de savoir à quel moment il faudrait revenir, et le gars nous explique consterné que le mieux est de venir le matin à 10h, pour pouvoir rentrer à l’ouverture… une heure plus tard !
Donc là on abandonne pour de bon, Gaël pleurniche un peu et on part se balader dans les rues alentour.
Anne croit se rappeler qu’il y avait des jeux dans le jardin des halles. Effectivement, on voit une grille avec des enfants qui jouent derrière. On fait le tour et on tombe sur un portail… cadenassé. On se dit d’abord qu’un salaud de riche a réservé le jardin pour l’anniversaire de son môme. On finit par lire le règlement, et là on comprend tout :
- Ce parc n’est ouvert qu’aux enfants de 7 à 11 ans : les parents et les petites sœurs sont interdits.
- Les entrées se font toutes les heures, et un enfant ne peut rester qu’une heure
- et pour pouvoir rentrer, il faut venir récupérer un jeton une demi-heure avant le moment de rentrer !
C’est à ce moment, juste après que Gaël ait pleurniché encore un coup, qu’on décide de leur payer un tour de manège et de rentrer chez nous, dans notre bonne vieille banlieue où les parcs sont ouverts et gratuits et où les trottoirs permettent d’accueillir une poussette avec un enfant accroché de chaque côté !
Week-end de jardinage à Dijon
Le calendrier du mois de Mai est plutôt favorable cette année ! On en a profité pour aller faire un tour chez Mémé & Dom, à Dijon.
Au programme, beaucoup de jardinage : plantation de haricots et de choux, arrosage, cueillette de radis, etc.
Malgré le temps grisou (mais pas pluvieux, au grand désespoir des jardiniers !), nous avons même réussi à manger dehors un midi.
Quelques photos des événements :
Une semaine dans le Sud
La semaine dernière, nous sommes allés faire un tour entre Cannes et Grasse, plus exactement à La Roquette-sur-Siagne !
On y avait loué un gîte: la petite bergerie.
Bon, l’excuse officielle était que j’allais bosser 3 jours à Sophia Antipolis, pour voir un peu les collègues sudistes. Mais ça ressemblait assez à des vacances en fait…
Le gîte était dans une immense propriété, juste à côté du logement de nos hôtes. Ça a permis aux enfants de largement profiter du jardin et de ses balançoires, et de jouer avec le petit dernier de la famille (Julien, 10 ans), tout content de trouver des compagnons. Manque de bol, il y avait également un grand chien, très gentil mais dont Zoé a eu peur tout le temps – surtout après qu’il lui ait bouffé son petit ballon gonflable… Elle en a fait des cauchemars la nuit, en hurlant “Paa, Paa, Paa…”, qui est sa façon de dire “Peur” !
Le voyage en avion s’est bien passé, les enfants ont été ravis de leurs petits cadeaux (vive Air France !) et Zoé est restée plutôt calme, faisant même une sieste au retour. La voiture de location avait un toit panoramique, ce qui leur a aussi beaucoup plu !
Sur place, nous sommes allé visiter Mougins, très joli village perché, le parc de la Valmasque, avec ses jeux pour enfants et pour papys & mamies (pardon… pour body-boomers !), le musée Picasso à Antibes (Iris : Quand même, elles sont rigolotes ces peintures !), l’inévitable Marineland avec ses spectacles et ses aquariums, et forcément quelques plages. Les grands se sont baignés, et ils étaient à peu près les seuls, et Zoé a transporté du sable sec ou des cailloux vers l’eau. On s’est même fait une sortie au restaurant, après un après-midi à la plage d’Antibes.
Comme le temps était plutôt variable, on est revenu avec un rhume (moi), des coups de soleil (moi encore…), des plaques rouges d’allergie au soleil (Iris) et une belle angine (Zoé), mais maintenant tout va bien !
PS: Un grand merci à Mémé & Dom pour le nouvel appareil photo, qui marche très bien et fait de très jolies photos, comme vous pouvez le voir ci-dessous !
Chasse aux œufs dans l’appartement
Cette année, la traditionnelle chasse aux œufs en chocolat se fait chez nous.
Vous allez pouvoir admirer Zoé en train de dépiauter un œuf, et Iris et Gaël en train de chercher partout, jusque sur le balcon.
(Et j’ai enfin réussi à trouver comment mettre la vidéo dans la page !)
Mise à jour : ben non, c’est pas une bonne idée apparemment : il y en a qui me bouffent ma bande passante avec ce système, et mon hébergeur commence à râler… La vidéo est disponible ici !
Pour l’occasion, j’ai également exhumé la vidéo équivalente d’il y a deux ans, où nous étions à Dijon : voir ici !
Gaël passe sa première audition
Depuis qu’il peut jouer des mélodies, Gaël a fait énormément de progrès avec sa flûte. Maintenant, il maîtrise les trois étages, c’est à dire les trois façons de souffler, pour faire des notes dans des octaves différentes avec le même doigté.
À son école de musique, ils font régulièrement des auditions, c’est à dire des petits spectacles pour les parents. Notre reporter était là, et en a rapporté ces images (on vous laisse deviner qui fait les commentaires…) :
Lexique Zoé-français
Maintenant qu’elle maîtrise parfaitement la marche et qu’elle a un bon petit paquet de dents, Zoé s’attaque au langage. Ce n’est pas toujours très convainquant (sans même parler d’être compréhensible…) mais on distingue bien maintenant ses tentatives de mots de son babil ininterrompu : elle détache bien les syllabes et fait un réel effort.
Après Papa et Maman, qui ont l’air assez interchangeables, un des premiers mots fut Gaga pour désigner son frère… ou sa sœur ! Tous nos essais pour lui faire dire Iris échouent.
La nourriture tient évidemment une place primordiale : citons Pain, l’inévitable Tato et Bouaboua pour à boire. Il y a aussi Nana qui sert pour banane ou pour ananas et Poa pour pomme ou poire.
Elle a découvert récemment les animaux. Hien est répété à chaque chien qui passe, mais également pour les pigeons. Pain sert aussi pour les lapins (merci les Teletubbies…). Sinon, elle imite les cris : Hihihihi pour le cheval et la souris, et un horrible raclement de gorge guttural pour le mouton.
Le Non est évidemment très bien maîtrisé, mais bizarrement pas le oui. Quand elle est debout, elle plie les genoux pour le dire… Ou parfois, elle dit Non pour dire oui !
C’est à peu près tout pour l’instant. La plupart de sa communication consiste encore en des gestes désespérés de la main et des Hin ? Hin ? Hin ? impérieux pour réclamer quelque chose… Comme ça marche assez bien, il va falloir attendre encore un peu pour les discours intelligibles !
Iris a 5 ans
Mise à jour 29 mars: Une vidéo d’Iris en pleine action !
C’est officiel depuis jeudi : notre petite fleur de printemps en compte désormais cinq.
Côté cadeau, elle a été bien gâtée ! Faisons le compte (in no peculiar order…) :
- Une trottinette à deux roues – celle a trois roues étant désormais (re)léguée à Zoé
- Un ptéranodon Playmobil
- Un bon d’achat pour un DVD Barbapapa + un tour en poney
- Un kit de BloPens + un carnet pour dessiner des dinosaures
- deux chèques
Merci à tous ceux qui ont participé ! Iris va vous faire parvenir ses remerciements petit à petit.
La journée d’aujourd’hui a encore amené un nouveau stock de cadeaux, puisqu’elle avait invité quelques amis de sa classe. Une fille et trois garçons (le double de l’an dernier !), mais l’un d’entre eux a déclaré forfait. Ce fut du coup assez calme, même si on a encore ressenti la même chose : les heures qui passent le plus lentement sont celles d’une fête d’anniversaire ! Pas de photos, l’appareil étant toujours à Shanghai…
Comme le temps est plutôt au beau en ce moment, elle a même réussi à choper son premier coup de soleil de l’année, en restant 10 minutes sur notre balcon…
À part ça, elle nous fait toujours autant rire ou tourner en bourrique, entre sa manie de ne jamais finir son assiette, ses poils de Nounours répandus partout, ses acrobaties, son imagination, ses bons mots (une brochette de raisin, au lieu d’une grappe) et son vocabulaire très choisi.
Hier par exemple, elle a qualifié l’odeur des toilettes de répugnante. Et en ne trouvant pas un jouet, elle a déclaré : Je suis terriblement déçue ! Essayez de vous souvenir de la dernière fois que vous avez prononcé le mot terriblement…