Édimbourg – jours 2 et 3

Deuxième jour à Édimbourg, et l’objectif est clair : aller voir l’université ! C’était quand même l’excuse pour venir ici, et Iris est bien motivée. Comme à Portsmouth, c’est un campus dans la ville, et pas sur une zone à l’extérieur comme ça se fait souvent par ici. Ça nous simplifie la vie : il suffit de marcher un peu, et nous y voilà.

Il y a donc une place centrale, George Square, et tous les bâtiments autour, ainsi qu’un grand parc. Covid oblige, on n’avait pas pu réserver une visite guidée par un étudiant, et on n’a pas pu rentrer dans la bibliothèque. Mais on a téléchargé une petite app, concoctée par l’université, qui nous a fait faire le tour, en nous expliquant ce qu’on voyait.

Ensuite, on a repéré un grand parc sur la carte et on est en fait tombé sur une mini-montagne, le Siège d’Arthur, à 10 minutes du centre-ville… Un ancien volcan. En Écosse, la nature n’est jamais très loin ! Le soleil était de la partie, et Iris a pris de jolis coups de soleil pour l’occasion… On avait évidemment oublié la crème solaire ! (On en a racheté vite fait le lendemain.)

En rentrant, on s’est posé sur une terrasse pour boire un coup, et on a ramené du take-away japonais à l’hôtel, parce qu’il avait l’air bon, et oui, il l’était !

Le jour suivant, on a décidé d’aller à la plage ! Une heure de marche du centre-ville, et on a trouvé une magnifique étendue de sable fin, avec finalement assez peu de monde, vu le temps magnifique. J’ai essayé de tremper mes pieds, mais l’eau était bien trop froide pour aller plus loin. Enfin, selon mes critères, parce qu’il y avait évidemment quelques locaux qui se baignaient ! On a mangé un plat local traditionnel (fish & chips) et on est rentré tranquillement.

À suivre !

Édimbourg – jour 1

Ce sont les petites vacances en ce moment chez nous, et histoire de profiter un peu de ce déconfinement, nous avions décidé d’aller — enfin — en Écosse ! L’excuse officielle est qu’Iris envisage son université, pour aller étudier dans un an, mais on avait bien envie d’y aller de toute façon.

Par contre, pas question d’y aller en avion, nous avons donc choisi le train de nuit ! D’abord un train pour Londres à 22h, un coup de métro pour la gare de Euston, et juste avant minuit, nous voilà partis, avec une arrivée prévue à 7h30. Ah oui, et les cabines sont un peu luxueuses, donc vraiment très chères… du coup à l’aller on est en simple siège inclinable. C’est pas très confortable mais, covid oblige, on est chacun seul sur notre rangée, donc il y a possibilité de s’étaler sur plusieurs sièges. Si seulement il ne faisait pas si froid dans ce train…

À l’arrivée, on est un peu dans les choux, mais le petit matin nous réveille, ainsi qu’un café-croissant à la gare. On dépose nos valises à l’hôtel, et on part en exploration ! D’abord vers New Town (qui est new parce qu’elle n’a que 200 ans…). Grandes avenues rectilignes, tram et petits immeubles: ça nous rappelle un peu le Paris d’Hausman ! Mais on arrive rapidement le long d’un très joli petit ruisseau et de rues pavées, qui ont beaucoup de charme.

On arrive ensuite dans des zones plus touristiques. Chaque coin de rue a son joueur de cornemuse, souvent en kilt. On n’avait pas vraiment d’opinion sur cet instrument avant. Maintenant si…

Le midi, on retrouve au restaurant une ancienne élève de Anne, qui étudie ici maintenant. Elle donne quelques tuyaux à Iris, mais surtout nous raconte ses expériences d’étudiantes… on a bien rigolé !

L’après midi, on est bien crevé et le petit vin du midi nous a un peu endormi, alors on récupère notre chambre à l’hôtel, et on s’affale sur le lit ! Sieste bien méritée.

On est ressorti le soir pour une balade dans les petites rues piétonnes autour de notre logement. Et on a juste pris une soupe en take-away, qu’on est retourné manger à l’hôtel. Ah, oui, et Iris a essayé le Irn-Bru (à prononcer comme Iron Brew), le soda local. C’est orange vif et ça a un goût de bubble-gum assez désagréable, mais il fallait tenter !
Après ça, une douche extrêmement bienvenue et au lit !

Zoé cherche ses mots

— Maman, pour l’école, il me faudrait des bottes à dents
— des QUOI?
— tu sais, des bottes à crocs. Qui accrochent au sol.
— hein ???
Après enquête approfondie, il s’agissait de chaussures à crampons, pour jouer au football 🤷 (Football boots en anglais)

Une autre, rapide: Zoé part à l’école.
— bonne journée Zoé. Amuse toi bien !
— Heu… Ouais… I make no promises!

Zoé et la coronaflûte

Il y a un peu plus d’un an, Zoé était sur le point de passer son “niveau 2” en flûte traversière. On était allé la faire répéter avec une pianiste pour passer l’examen, elle avait joué ses morceaux 50 fois et elle stressait à mort parce que c’était la semaine suivant. Quand soudain… bref, l’examen n’a jamais eu lieu !

Par contre, elle a gardé sa flûte à côté de son bureau. Et à chaque fois qu’elle en avait marre des cours à distance ou que ses devoirs la gonflaient ou que ses profs la gonflaient, elle la sortait, trouvait une partoche sur internet et jouait tout ce qui passait. Comme elle déchiffre assez bien, elle arrive à jouer en direct si le morceau n’est pas trop compliqué.

Quand les cours de flûte ont repris à distance quelques mois plus tard, sa prof était toute étonnée des progrès qu’elle faisait. Et ça a encore empiré quand on lui a acheté un petit “stand”, pour pouvoir poser son instrument à la verticale, sans le ranger (et sans le laisser traîner sur le canapé, hmmm?), parce que du coup il était toujours disponible. Elle pouvait dégainer son engin juste pour quelques minutes, le temps de passer ses nerfs.

Le résultat est qu’un an après, elle joue du “niveau 5” et taquine même le “niveau 6″… C’est le solfège qui n’avance pas au même rythme, mais elle en sait assez pour jouer avec plaisir, et c’est ça qui compte. Elle a tellement pris d’assurance qu’elle envisage maintenant de repasser des niveaux, et que ça ne la fait même pas stresser ! Elle devrait aussi pouvoir rejoindre l’ensemble de flûtes de sa prof, en septembre, quand les cours reprendront “en vrai”.

Voilà une petite vidéo qui date de janvier — donc maintenant elle joue encore mieux ! Je vous conseille de regarder jusqu’à la fin…

Corona-déconfinement

Ça n’a pas l’air de se passer très bien en France ces jours-ci, au niveau de la pandémie… mais par chez nous, ça va beaucoup mieux ! On est en gros confiné depuis mi-décembre, et les courbes de décès, contamination et hospitalisation sont clairement à la baisse, depuis deux mois. De plus, le rythme des vaccinations a l’air de se maintenir – on est à 35% de la population ayant reçu au moins une dose. Du coup, le pays commence à se déconfiner tout doucement, ce qui veut dire retour à l’école !

Il y a aussi un très gros effort sur les “test latéraux” : on teste plein de gens, avec des tests rapides, pas forcément très fiables, mais le nombre fait qu’on trouve les foyers de contamination avant qu’ils ne se répandent.
Zoé, Iris et Anne ont donc dû se faire tester chacune 3 fois, à quelques jours d’intervalle, dans leurs écoles respectives. Ce n’est qu’après 3 tests négatifs qu’elles ont pu retourner bosser. Elles ont réussi toutes les trois, et ont donc recommencé l’école cette semaine.

Et les tests vont continuer, mais cette fois ils seront faits à la maison. Elles ont donc reçu chacune un kit de 6 tests, qui ressemble à une mini-boîte du petit chimiste…
(Vous noterez le joli sceau de test qualité rouge, écrit en chinois. Heureusement que le communisme est là pour nous sauver !)

On a essayé le premier test ce soir. Voici comment ça se passe:

  • On prend un grand coton-tige et on se le colle au fond de la gorge, d’abord à droite puis à gauche, en tournant 4 fois
  • On se le met ensuite dans une narine, le plus au fond possible, et là il faut tourner 10 fois. Zoé dit que ça fait pleurer…
  • On dilue ce qu’on a récupéré dans un petit godet contenant du solvant
  • On verse 2 gouttes de la solution sur un bout de papier buvard (Ça ressemble à un test de grossesse, pour ceux qui connaissent !)
  • On attend 30 minutes et on compte les barres. Une barre: négatif. Deux barres: positif. Aucune barre: le test est raté…
  • On envoie le résultat du test (négatif pour nous, ouf !) sur le site web dédié.

Et Maxine? Et bien les universités ne rouvrent pas, elles. Elle a donc toujours ses cours entièrement en ligne.

Mais… elle en a enfin terminé avec l’orthodontiste cette semaine ! Plus de bagues, et les dents sont bien droites. Enfin, elle a encore ce “retainer” qui les maintient en place, à porter toute la journée pendant 6 semaines, puis toutes les nuits pendant quelques années…
Mais, n’ayant plus de raison de rester ici maintenant, elle est repartie dès ce matin dans son Portsmouth bien aimé, revoir ses potes à la résidence étudiante. Elle sera restée 3 mois à la maison, et c’était beaucoup trop pour son goût 😉

Corona-peinture

Zoé avait envie de changement dans sa chambre dernièrement. Elle a commencé par enlever tous les autocollants Hello Kitty qui traînaient encore sur les murs et sur son lit. Et puis elle s’est décidée petit à petit… et finalement, pendant ces petites vacances de février, on a tout changé !

Tout d’abord, elle a parlé de repeindre un mur en rouge. On n’était pas très sûr, alors on a commandé un échantillon, peint un petit coin, et oui, c’est bien ça qu’il fallait. Au moment de démarrer le projet, elle avait aussi décidé de repeindre les autres murs en blanc (pour changer du jaune clair, bien défraîchi il faut le reconnaître !) En passant, on a aussi repeint le tour de la fenêtre dans le même rouge que le mur. Et les étagères en rouge et blanc, chacune sur un mur de la couleur opposée.

Et puis est venu la question du lit… Zoé occupe la pièce la plus petite de la maison: un carré de 2m50 de côté. Depuis qu’on habite ici, elle a un lit à mi-hauteur, qui permet d’avoir de la place dessous pour une commode. Mais il utilise en gros la moitié de la pièce. Après une journée de réflexion, elle a décider de s’en débarrasser, pour le remplacer par un lit à hauteur normale avec des tiroirs dessous. Un petit tour sur le site d’Ikea et son choix était fait. Le problème bien sûr, c’est qu’Ikea ne livre pas en ce moment, et ce lit n’est disponible qu’au magasin de Milton Keynes, à 1h30 en voiture, et on n’a même pas de voiture…

Bref, on a démonté le lit quand même, et elle dort pour l’instant sur le matelas par terre, en attendant que ça se résolve. Mais elle est toute contente de sa nouvelle chambre !

Corona-Noël

C’était le tour de Mémé et Dom de venir nous voir à Noël, mais bien sûr, le virus en a décidé autrement. Maxine a quand même pu quitter son université pour nous rejoindre, heureusement !

Le confinement ici était plutôt costaud : on ne pouvait voir qu’une personne à la fois, et dehors. On a donc passé un Noël tranquille, juste nous cinq, en restant principalement au chaud chez nous ! (On a juste vu une copine une fois, en allant nous balader dans le petit bois à côté. Le virus peut toujours essayer de nous attraper avec ça !)

Pas de grand repas gargantuesque, mais quand même un bon dîner aux chandelles pour le réveillon (foie gras, tourte porc et abricots, fruits déguisés) et un excellent repas le jour de Noël (carré d’agneau, choux de Bruxelles, pommes de terres dauphines, bûche aux marrons). On avait même trouvé du champagne pas trop cher !

Pour les cadeaux, le Père Noël n’a pas refait l’erreur stupide de l’année dernière en offrant des billets de spectacles à tout le monde 🤦 (4 spectacles -> 2 annulations et 2 reports…). Il est donc là aussi resté simple: boucles d’oreilles et parfum pour Maxine, équipements de sport en intérieur pour Iris, partoches et “hoodie” Ghibli pour Zoé.

Quant au réveillon du premier de l’an, on a encore bien mangé (saumon fumé, foie gras à nouveau, crème brûlée maison) et on s’est mis devant la télé pour regarder un film comique de zombies, Shaun of the Dead. Oui, ça existe et on a bien rigolé ! Ça nous a permis d’oublier un peu que c’était la soirée du Brexit…

La rentrée cette semaine a été un peu chamboulée… Notre cher premier ministre avait décidé que les écoles secondaires ne rentreraient que la semaine suivante, mais les écoles primaires reprendraient le lundi prévu. Finalement, dès le lundi soir, au vu de la situation… il a changé d’avis, et tout le monde reste chez soi pendant au moins deux mois. On est donc 5 à bosser de la maison pour l’instant, et jusqu’à nouvel ordre.

Allez, on vous souhaite une “happier” année 2021 !
Bises virtuelles à tout le monde, et surtout bonne santé !

Anniversaire à Portsmouth

Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Maxine ! 19 ans déjà… C’était il y a tellement longtemps, ce blog n’existait même pas !
Comme les 2 autres avaient des petites vacances cette semaine (et qu’on était entre deux confinements…) on est allé faire un tour à Portsmouth pour la retrouver ! Une voiture de location, une chambre familiale dans un hôtel pas très loin, et hop !
Cet hôtel avait son restaurant en travaux, et ne pouvait même pas nous fournir les “breakfast boxes” qu’il avait promises. Heureusement, ils ont toujours une bouilloire pour le thé, et on avait amené une petite valise pleine de viennoiseries ! 🥐

On a retrouvé Maxine le samedi soir, devant sa résidence étudiante. On n’avait pas le droit d’y rentrer, mais on a fait un tour dans Portsmouth. On s’est bien fait mouiller en allant sur la digue — il y avait une tempête avec des rafales à 80 km/h, mais on a réussi à éviter les embruns. On a fini dans un pub, d’abord pour un chocolat chaud, puis finalement pour manger, vu qu’on n’avait pas encore terminé de sécher. C’est là qu’on lui a offert ses cadeaux, du coup : plein de pain d’épices de Noël, un nouveau téléphone, mais surtout un ouvre-boîte — elle a cassé le sien, et dans une vie d’étudiante, c’est un objet important !

Le lendemain, dimanche, on est parti tous les 5 sur l’île de Wight, juste en face. Anne a très bien supporté le bateau, et on a emmené les enfants visiter Osborne House, la résidence d’été de la reine Victoria et de sa ribambelle de gamins. (On y était déjà allé à deux, il y a 4 ans, mais les enfants ne l’avaient pas vue !) On n’a presque pas eu d’averses. Mais pas mal de salles ou d’endroits étaient fermés, pour cause d’hiver ou de Corona, on n’a pas su.
Pour finir la journée, on est allé tout au bout de l’île de Wight, un coin plus sauvage avec de jolies falaises, et les fameuses Needles tout au bout. On a pris un autre chocolat chaud, avant de reprendre le bateau et de rentrer dans notre hôtel.

Le lundi, on n’avait pas Maxine avec nous, elle bossait, la pauvre ! (En ce moment, ça veut dire rester dans sa chambre et suivre des cours en ligne… Elle a quand même UN cours en présentiel dans la semaine.) On a commencé par faire un tour dans les Farlington Marshes, une zone de marécages et réserve ornithologique. On a vu plein d’oiseaux, mais aussi de jolis petits veaux !
Enfin, on est revenu dans Portsmouth et on a suivi une grande balade pendant 3 heures, qui nous a fait passer par les coins les plus marquants. On a même vu un marché aux poissons, ce qui bizarrement est plutôt rare dans notre île ! Anne a très envie de venir s’installer là maintenant…
On a retrouvé Maxine le soir pour un nouveau chocolat chaud, et on est rentré manger dans notre hôtel sans restaurant, des nouilles instantanées à l’eau de bouilloire.

Le lendemain, on est allé voir le musée du D-Day — la plupart des bateaux du débarquement étant partis de Portsmouth. Pour s’en remettre, on s’est fait un bon restaurant le midi, on a dit au-revoir à notre grande, et on est rentré tranquillement chez nous.
Allez, les photos !

Corona-rentrée — Zoé

Ça fait 2 semaines déjà que les 2 plus jeunes sont retournées au collège.

C’est un peu spécial cette année, Coronavirus oblige. Les horaires sont décalés pour ne pas que les différents niveaux se croisent. Zoé commence donc 20 minutes avant Iris. Elle ne peut pas non plus arriver par n’importe quelle entrée comme avant – chaque groupe arrive par une entrée différente, ce qui fait qu’elles ont toutes les deux abandonné le vélo et qu’elles y vont à pied maintenant.

Une conséquence de ça : la récréation est parfois au milieu d’un cours ! La cantine est aussi perturbée : Zoé peut maintenant accéder uniquement au “Snack shack”, le stand de sandwiches et panini, et Iris ne peut pas y aller, elle doit prendre un plat chaud. Je suis sûr qu’en France ce genre de choses n’arriverait pas 🙂

Elle est en “year 8” cette année, la deuxième année de collège. Changement récent : elle a décidé cette année de ne plus mettre de jupe et de passer au pantalon d’uniforme. On a demandé pourquoi, mais les explications n’était pas très convaincantes. Elle a toujours son logo “Extinction Rebellion” sur le sac par contre.

Elle est aussi revenue dépitée un soir, parce qu’elle trouve que ses condisciples ne sont pas très politisés. Ou de droite.
Ils ne savent même pas ce qu’est le Brexit. Ils n’ont pas l’air de considérer le réchauffement climatique comme un problème. Et aussi, il y avait une discussion ou des gamins parlaient de “Greta Thunderberg” qui était norvégienne, et qui n’allait pas à l’école. Elle a levé la main (oui, Zoé, la timide !) pour expliquer que Greta Thunberg était une activiste suédoise, qui venait de passer une année sabbatique.

Bref, elle n’a pas fini de changer, et on suit ça de près !

Corona-vacances dans le Nord-Est

C’était la suite logique : après le Sud-Ouest, nous sommes partis de l’autre côté !
Dijon pour commencer, chez Mémé et Dom, où on a encore eu bien chaud. On a fait moins d’activités que d’habitude du coup. Même le traditionnel passage à la bibliothèque, pourtant climatisée, ne nous a pas fait envie : il aurait fallu porter un masque tout le temps, et replacer à part les livres qu’on touchait.

On a quand même pu faire le non moins traditionnel tour dans les arbres, en accrobranche. Et cette année, Zoé était assez grande pour atteindre les parcours les plus compliqués ! Celui qu’elle a fait a eu quelques passages difficiles, où Iris ou moi avons dû l’aider. Mais elle n’a jamais paniqué et attendait tranquillement, suspendue en l’air, qu’on vienne la sauver.

Nous avons également profité du musée des Beaux-Arts, qu’on n’avait pas vu depuis sa réfection, et mangé un super repas au restau, un soir à la fraîche. Ah, et Zoé a joué du Vivaldi à la flûte avec sa grand-mère au violon, mais il va falloir faire un article entier sur Zoé et sa flûte…

Notre dernière étape était à Paris ! On a passé deux nuits chez Margaret en banlieue, et en avons profité pour faire les touristes à la capitale. Les enfants râlaient à l’avance, en disant qu’ils n’aimaient pas les grandes villes, mais finalement ils ont vraiment aimé cette journée.
Le but initial était un tour en bateau-mouche, mais on l’a vu partir juste devant nous, et, Covid oblige, il n’y en avait que toutes les 2 heures… On s’est donc rebattu sur la Tour Eiffel, juste à côté. On y était assez tôt le matin, et il n’y avait pas de queue du tout, on n’avait jamais vu ça ! On est monté (à pied bien sûr !) jusqu’au 2ème étage, et avons détaillé aux enfants tous les monuments qu’on a pu reconnaître !

Ensuite, on voulait emmener les gamins à Montmartre. On a commencé par prendre le métro, puis… par prendre une pizza, avant de grimper jusque là-haut ! Et puis ensuite on était trop lourd alors on a pris le funiculaire… On a retrouvé Sylvie et Coco, et on s’est baladé dans les petites ruelles pavées, c’était très agréable. On a même pris un pot au Moulin de la Galette !

Et le lendemain on est rentré chez nous, et comme à chaque fois qu’on rentre de vacances, il pleut sur la route du retour… Mais ça valait le coup quand même !
Un grand merci à tous ceux qui nous ont hébergé, nourri ou désaltéré pendant ces vacances !