La ‘Nativity’

Comme vous le savais, ou peut-être pas, Noël en Angleterre commence à être célébrer très tôt. Non seulement est-ce qu’on vois des Pères Noël décoratifs dans les vitrines de magasins en Octobre, mais quelques écoles sont très, peut-être même trop, excité à raconter la fameuse histoire de quand le petit Jésus était né. C’est aussi la ou les Year 6 (mon année), les KS1(5 ans – 7 ans) et la maternelle doivent raconter cette histoire avec des costumes qui gratte, des petites voix dans une église géante et des maitre/maitresse stresser. Ce-si est la fameuse ’Nativity’.

Avec des Rois Mages, Mary et Joseph et beaucoup beaucoup d’anges, la Nativity est tellement populaire qu’ils ont décidé de faire un film la dessus, à propos d’un maitre qui n’aimer pas Noël et après si par-ce qu’il a pus faire la Nativity avec ses élèves. C’était vraiment nul. Sa s’appeler ’Nativity’. L’année d’après, qu’est-ce que je vois comme affiche au cinéma ? ‘Nativity 2’. L’année d’après, qu’est-ce que je vois comme affiche sur un bus ? ‘Nativity 3’. Je suis 99% sure que c’est exactement la même histoire, mais avec des personnages différents. Je vous jure, ce n’est pas une blague.

Après toutes ses années d’être obliger de chanter des chansons sur… bien, tous ce que vous avez lus au-dessus, c’est inévitable que des enfants commence à en avoir mare. Du coup, pour se marrer dans la coure, nous avons inventer nos versions un peu plus drôle, ou ridicule. Ses chansons ont était passer de génération à génération. Non, c’était pas moi qui les avez inventer. En voici un exemple:

Version originale:
We three kings of orient are;
Bearing gifts we traverse afar
Field and fountain, moor and mountain
Following yonder star

Oh, star of wonder star of night
Star with royal beauty bright
Westward leading, still proceeding
Guide us to thy perfect light
Version…trafiquée ?
We three kings of chocolate bar
One in a taxi, one in a car
One on a scooter honking his hooter
Smoking a fat cigar

Oh, star of wonder star of night
Fill your pants with dynamite
Light the fuse and off we go,
All the way to Mexico

La chanson que nous avons inventer veux dire:

Nous sommes trois roi de bar au chocolat
Un dans un taxi un dans une voiture
Un sur une trottinette qui joue de son klaxon
Fumant un gros cigare

Oh, étoile de merveille étoile de nuit
Rempli ta culotte de dynamite
allumer le fusible, est on y va
Jusque au bout du Mexique

Celle-la est la plus avancer, mais je suis sure qu’il y aura beaucoup d’autre à venir, comme; ‘Cucumber, my lord, cucumber’, au lieu de ‘Kum ba ya, my lord’. Ou même ‘O come let us ignore Him’ (Oh, venais l’ignorée) au lieu de ‘Oh come let us adore Him’. Bref, en conclusion les gamins n’ont pas peur de ridiculiser leurs écoles !

Le Brexit, ça marche pas !

Samedi dernier, nous sommes allés faire un tour à Londres, non pas pour du shopping, mais pour la marche anti-Brexit !
Ça faisait chaud au cœur d’être entouré d’autant de drapeaux européens ! L’ambiance était très sympa, avec plein de gens de tous âges et de toutes sortes, et des pancartes bourrées d’humour.
Zoé était à fond. On avait récupéré un kit “coupe du Monde” cet été (merci Mémé et Dom ), et elle avait ses lunettes bleu-blanc-rouge, un drapeau français sur chaque joue, un européen dans la main, et un autocollant “Bollocks to Brexit” sur le front…

On avait parlé de ce Brexit juste après le vote en 2016. Ce qui s’est passé depuis deux ans est un grand concentré de n’importe quoi. Essayons de résumer…

Tout d’abord, le referendum a été largement entaché de mensonges, mais aussi d’irrégularités, la partie pro-Brexit ayant dépensé bien plus qu’autorisé, utilisé des données de Facebook frauduleusement, etc. Il y a même des soupçons de financements de la Russie. Ça vous rappelle un autre vote ailleurs ?

Le gouvernement de Theresa May a fait preuve d’une impréparation et d’un amateurisme incroyable. Ils n’ont rien fichu pendant des mois, laissant l’UE faire tout le boulot. Ils sont d’ailleurs toujours divisés sur les questions basiques : le pays quitte l’UE, mais reste-t-il dans le Marché Unique (comme la Norvège) ? Ou bien a-t-on un accord d’échange particulier (comme la Suisse ou le Canada) ? Ou bien rien du tout, devenant un pays tiers avec des échanges gouvernés par l’OMC ? Ça change tout !
L’opposition ne fait pas tellement mieux, le leader travailliste Jeremy Corbyn étant un Brexitteur fervent, il attend que tout pète pour ramasser le pouvoir.

Quelle que soit l’option choisie, le pays s’attend à un choc terrible le 29 mars 2019, jour de la sortie. En cas d’absence d’accord, le gouvernement a publié une bonne centaine de recommandations, dont la simple liste donne la frousse. C’est qu’on perdrait du jour au lendemain tout un tas d’accords au niveau européen, permettant de faire voler les avions, d’acheter des matières nucléaires ou de l’électricité, d’autoriser des médicaments, etc. Les entreprises n’aiment pas cette incertitude, et chaque semaines, quelques unes décident de déplacer leur siège ou leurs usines ailleurs. De toute façon l’impact économique sera énorme.

Et puis, il y a les Irlandais. Au vu de l’histoire récente, ils refusent absolument qu’il y ait une frontière entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande, au Sud. Or, l’Europe impose une frontière et des vérifications de marchandises si le pays quitte le Marché commun, pour ne pas importer des cochonneries non conformes. L’UE a même proposé de déplacer la frontière à la Grande-Bretagne (l’île principale), en laissant toute l’Irlande unie. Mais la proposition ne passe pas auprès des députés nord-irlandais Unionistes (bien à droite, anti-avortement, etc.), dont Theresa May a besoin pour tenir sa coalition.
Les Écossais sont très fâchés aussi, eux qui ont massivement voté pour rester dans l’Europe. Il avaient voté contre leur indépendance en 2015 : on leur avait annoncé… qu’ils ne seraient plus dans l’UE s’ils devenaient indépendants !

Bref…

La grande marche devait durer 2 heures et se finir place du Parlement. En fait, au bout de 2h on n’avait pas encore fait la moitié tellement il y avait de monde. Les journaux prévoyaient 100 000 personnes, on s’est retrouvé au milieu de 700 000 personnes — d’après les organisateurs, la police ne faisant pas de décompte ici. On a mis 4 heures pour faire tout le parcours.
La revendication principale était d’avoir un second referendum, maintenant que le pays sait un peu mieux à quoi s’attendre. En espérant que le résultat soit différent.

Concrètement, pour nous, on devrait perdre le droit de vote aux élections locales et européennes, remplir quelques formulaires et payer une sorte de carte de séjour pour pouvoir rester ici. On attend de voir, tout pouvant changer à tout moment.
Mais bon, on fait quelques réserves de boîtes de conserve, juste au cas où…

Une canicule en France – Dijon

Dernière étape de notre séjour en France cette année : Dijon, chez Mémé et Dom. Un grand classique !

La canicule se calmait un peu, mais on était quand même content d’aller prendre le frais dans les grottes de Bèze, avec un tour en bateau sur la rivière souterraine, et un tour à pied dans le très joli village autour.

On a aussi eu le plaisir de refêter nos 20 ans de mariage, au restau ce coup-ci, et un excellent ! On a beaucoup goûté dans les assiettes de nos voisins, et ça valait le coup…

Les filles (et leur papa, okay ) ont aussi fait un grand tour d’accrobranche. Gaël n’est pas très à l’aise en hauteur, donc il est resté au sol à faire des photos et à encourager. Zoé a presque la taille requise pour faire les parcours “des grands”, donc il est probable qu’on y retourne l’année prochaine…

Et pour finir, évidemment, notre traditionnel tour dans un supermarché pour ramener diverses victuailles continentales dans notre île ! Cette année, la tendance était aux rochers Suchard, saucissons, compotes en gourde, etc. Ah oui, et une grosse boîte de 1kg de nounours en guimauve, qui est partie beaucoup trop vite… 😢

Une canicule en France – Libourne

Nous voici à notre deuxième étape de notre tour de France: Lugon-et-l’Île-du-Carnay — mais on va dire Libourne, c’est plus facile à situer !
C’est là qu’on a eu le plus chaud, avec des 40°C régulièrement. On est resté quelques après-midis enfermé, avec les volets clos et avec des boissons fraîches !

Mais pas que…
D’abord, on a fait un petit tour à Saint-Émilion, où on n’avait pas mis les pieds depuis 9 ans. (D’ailleurs regardez comme on était jeune à l’époque !)
Ensuite, bien sûr, une traditionnelle balade à Bordeaux, où les enfants ont eu le plaisir de se tremper les pieds dans le miroir d’eau au bord du fleuve.
À propos de Bordeaux, on a également vu les Girondins jouer, dans leur stade tout neuf ! C’était contre une équipe Balte inconnue au nom imprononçable… Bordeaux a gagné, c’est le principal !

Début août, c’était aussi le Fest’arts, le festival des arts de la rue à Libourne, et on a réussi à en profiter un peu — en y allant plutôt le soir ! On a pu voir quelques belles choses:

  • La compagnie du petit monsieur, un spectacle muet d’un petit monsieur qui se bat (littéralement) avec une cabine téléphonique, à la Chaplin ou Tati
  • La Compagnie International Alligator, qui nous a retracé 2000 ans d’histoire de luttes en 1 heure de théâtre de rue. C’était un peu fouillis et les enfants avaient beaucoup de mal à accrocher, donc on est parti en cours de route.
  • La compagnie avis de tempête, avec un spectacle à la fois de trapèze, d’équilibriste et d’acrobatie, sur une structure qui accueillait aussi un batteur et un guitariste/claviériste. On a adoré.
  • Le chant des coquelicots, une installation musicale le long des quais, qui était magnifique sur fond de coucher de soleil couchant

J’ai dû en oublier quelques-uns…
En passant, on a admiré un peintre de rue, qui faisait devant nous et en quelques minutes de tableaux à la bombe. On l’avait d’ailleurs croisé la veille à Bordeaux. Iris a craqué et lui a acheté une de ses toiles !

À bientôt pour la suite et fin du périple !

Une canicule en France – La Rochelle

Petit retour sur nos vacances, avec quelques photos !

Ce fut donc un été caniculaire, et pas seulement en Angleterre où on dépassait parfois les 30°, mais aussi en France, avec largement plus !
Cet été, notre tour de France traditionnel fut moins étendu que d’habitude, avec 3 destinations seulement. La première était La Rochelle, où on a retrouvé les cousins et… fêté nos 20 ans de mariage ! Ben ouais, c’était le 18 juillet 1998… Ceux qui y étaient ont tendance à s’en souvenir, et ça fait plaisir 🙂
La famille nous avait préparé une excellente interprétation de Rock Collection de Laurent Voulzy, avec des chansons rappelant tous nos voyages. Merci encore à tous !
Une commande spéciale de Anne pour l’occasion : des langoustines, pour rappeler le buisson de langoustines de cette journée… On s’est régalé, de ça et de plein d’autres choses.

Également au programme de cette semaine, un tour à pied de l’île d’Aix (où on n’était pas allé depuis… nos fiançailles sans doute, il y a encore plus de 20 ans !) On était 15 en tout, et heureusement il ne faisait pas trop chaud ce jour-là. On a pique-niqué sur la plage, les doigts de pied dans le sable et les mains dégoulinantes de melon juteux, c’était super!

Festival du conte d’Oxford

Samedi dernier, nous sommes allés au premier Oxford Storytelling Festival, sur les conseils d’une amie, qui va à celui du Pays de Galles depuis 20 ans. Bon, on a été petits joueurs comparés à elle : on n’y est resté que le samedi. Elle y passait tout le week-end avec sa fille de l’âge de Zoé, en camping à la britannique. (C’est à dire sans douche, avec un robinet d’eau froide pour 50 tentes, des toilettes sèches, 5°C la nuit, et une journée de pluie obligatoire !)

L’ambiance était très hippie (la copine disait “oxfordish”) : toilettes sèches donc, nourriture exclusivement végétarienne, mais principalement végane et sans gluten, ateliers “je raconte mon accouchement” ou séance de yoga face au soleil levant.
Et surtout plein d’histoires ! Soit sous des grands tipis, soit dans la grande maison, aux fresques New Age. On vient, on s’assied, on repart si ça ne nous plaît pas. Et franchement, ça nous a très souvent plu !

Voici un petit échantillon des conteurs qu’on a vus.

  • Hugh Lupton, présenté comme “on ne le présente plus”, qui a raconté des histoires traditionnelles du nord de l’Angleterre. C’est le premier qu’on a vu, et il mettait la barre très haut !
  • Kerima Mohideen, qui mêlait un conte traditionnel du Sri Lanka et une histoire bien réelle et contemporaine de tribus expropriées à l’est de l’Inde. Politique et féministe !
  • Tom Irons, qui était à fond dans son histoire de géant et de fils du fils du roi sauvant la princesse, etc.
  • Katy Cawkwell, avec des contes classiques, racontés de manière très colorée et vivante.
  • Ben Haggarty pour finir, dans l’amphithéâtre avec le soleil couchant. Il nous a tenu en haleine une bonne heure avec l’histoire d’Atalante.

Avec ça, les filles ont également taillé une cuiller en bois chacune, et aussi filé un peu de laine colorée. Zoé et sa copine ont passé une bonne partie de la journée de leur côté, à vivre leur vie sans qu’on les embête.

On est parti vers 10h du soir, en souhaitant un bon courage à ceux qui restait, pour la nuit bien fraîche et la journée de flotte du lendemain…

Balade à rallonge

En ce moment, il fait un temps extraordinaire par chez nous : c’est l’été ! Il a plu UNE fois en deux mois ! Et les températures restent au-dessus de 20°, atteignant régulièrement les 25°, voire 30°… Une vraie canicule, pour les critères locaux.

Nous, ça nous convient bien, et on en profite pour faire des promenades en forêt. Ce coup-ci, on a même pu faire un pique-nique, sans s’asseoir dans la boue ou craindre une averse !

On part d’un pub, le Rowbarge (Très sympa d’ailleurs, il faudra qu’on y retourne pour manger ! C’est ce pub qui nous a indiqué la balade.), et on suit le chemin le long de la Tamise. C’est bucolique à souhait, il y a des péniches décorées, de la belle nature et des petits cottage très mignons. Les Anglais disent chocolate-boxy : dignes de figurer sur des boîtes de chocolats.

Vers le milieu de la balade, au moment de commencer la boucle de retour, catastrophe : le chemin est fermé ! Une sombre histoire d’inondation, et de stabilisation des berges. On hésite à faire demi-tour pour rentrer par la même route. Et puis finalement on prend la déviation proposée, qui nous rajoute presque une heure de marche…
Cette partie est bien sûr moins balisée, et on hésite plusieurs fois sur la direction. Et puis les chemins sont moins bien tracés, et plus sauvage. Et puis on ne croise personne pendant une heure. Et puis on se retrouve au milieu d’un champ avec 3 chevaux. Bref, les enfants ne sont pas loin de paniquer.
Enfin, on retrouve l’autre bout du chemin interdit, et le moral s’améliore !
Du coup, on s’arrête pour manger au milieu du chemin, puisqu’il n’y a toujours personne, qu’on a faim et qu’il n’y a rien de plus pratique autour.

Au final, on a marché 12km au lieu des 10 prévus initialement. Les enfants ont bien un peu râlé, mais ils ont apprécié le coup à boire à l’arrivée !

Iris aux Army Cadets

On vous avait pas dit… Iris a rejoint les Army Cadets il y a quelques mois. Elle vient tout juste d’avoir son uniforme, et ça mérite bien un article, et quelques photos !

Elle a donc troqué le karaté (elle était la seule membre de son club…) pour aller jouer au petit soldat, deux fois par semaine de 19h30 à 21h30.
Mais que font-ils donc pendant deux heures? Il y a du sport, de l’entraînement militaire (marcher au pas, se cacher dans la forêt avec de la peinture de camouflage, etc.) et même un peu de tir – mais elle n’a pas encore la qualification requise.

Pour elle, c’est la continuité logique du scoutisme, qu’elle a arrêté il y a quelques années, quand elle devenait un peu âgée.
Pour l’armée britannique, c’est un moyen idéal pour recruter des jeunes intéressés, sans recourir à la conscription, qui n’existe plus ici depuis plus d’1/2 siècle. Toutes les activités sont subventionnés par le ministère de la Défense – et ça inclut l’uniforme, et même des voyages pour aller camper en Norvège en février (!!) ou crapahuter quelques semaines au Canada.

Elle démarre juste, mais elle a toute la motivation qu’il faut. Elle a été remarquée pour la cadence de ses pompes — merci le karaté !
Elle a donc maintenant l’uniforme également — il a juste fallu qu’on achète les bottes règlementaires, en prenant une taille de plus parce qu’ils n’avaient pas de pointure assez petite pour elle…
Et, pour la première fois depuis des années, elle a même accepté de s’attacher les cheveux ! Et pas juste un élastique hein, le chignon réglementaire. Avec sa tignasse, il y a de quoi faire… Admirez !

Sicile – The end

Et voilà ! Pas grand-chose de passionnant ce dernier jour. On rend la maison, on rend la voiture, on prend un avion, puis un autre, on retrouve la voiture, on retrouve la maison. Tout ça s’est passé sans anicroche, et on était chez nous vers 21h30.

J’avais juste envie de montrer d’abord la dernière spécialité sicilienne, qu’on n’avait pas encore goûtée : les fruits en pâtes d’amande ! On s’en est pris un chacun à l’aéroport, en attendant l’enregistrement. On en avait vu des boutiques entières la veille à Taormina, mais on avait résisté…

L’autre moment intéressant de la journée, c’était une dernière virée dans le supermarché du coin (un Auchan — pas très italien !) pour ramener quelques bonnes choses qu’on ne trouve pas chez nous ! Par exemple :

  • Diverses pâtes : colorées, complètes et en tortillon
  • Diverses sauces à mettre dans les pâtes : bolognaise, champignons, etc.
  • Divers mélanges d’épices, pour rehausser tout ça
  • De la sauce tomate, des câpres et des anchois, pour faire une pizza napolitaine un jour
  • Des tomates séchées
  • Des champignons séchés
  • Une moitié de saucisson sicilien, qui trainait dans le frigo et qu’on n’allait quand même pas jeter !
  • Une bonne grosse tranche de parmesan
  • Un bon gros pot de miel d’acacia
  • De la préparation pour thé glacé, que Zoé a adoré
  • Et des paquets de petits gâteaux, notamment de la marque Mulino Bianco, qu’on trouvait facilement à Paris, mais pas ici

Voilà de quoi nous rappeler de tous ces bons moments dans ce pays merveilleux 🙂

Sicile – Taormina

C’est notre dernier jour en Sicile, et il nous reste le plus beau à voir : le petit village perché de Taormina. C’est à 1h de route de chez nous, mais ça vaut le coup.

L’attraction principale est le grand théâtre grec, rénové par les Romains il y a environ 1700 ans… Il en manque un peu des bouts maintenant, mais c’est finalement très bien, parce que la vue derrière est somptueuse. Avec en fond l’Etna, bien sûr ! Une scène est en train d’y être installée pour des spectacles cet été. On a du mal à se détacher de cet endroit magique.

Ah oui, mais la faim nous aide ! D’autant qu’on avait promis aux enfants une pizza ce midi. On trouve sur une petite place, sous une tonnelle de vigne, une terrasse de pizzeria qui nous sert de larges pizzas, et on se régale !

On marche ensuite un peu dans les rues. C’est très touristique, mais très, très joli aussi, avec partout des balcons décorés de manière un peu folle, des ruelles minuscules en escalier dans tous les sens, et la mer toujours en vue au bout de chacune.

Au bout d’un moment, la pizza commence à descendre, et on passe au dessert. On se prend alors une autre spécialité sicilienne le granité (de la glace pilée et un sirop sucré). Rien de bien gastronomique, mais ça désaltère à merveille avec la chaleur.
À propos de chaleur, Zoé décide de s’acheter un nouveau chapeau. La vendeuse lui lance un Ciao, bella ! en partant.

En fin d’après-midi, on fatigue un peu alors on rentre.
Et puis on se dit que c’est notre dernière soirée ici, alors on va À LA PLAGE ! Il y a un peu des vagues, et elle est encore plus déserte que d’habitude. Les filles sautent dedans, et même Gaël va se baigner !

Allez, un dernier article demain sur le sujet… En attendant, les photos du jour !