Japon jour 4 – Tokyo (musée de l’histoire de Tokyo)

Good morning ! Aujourd’hui, il fallait se levait tôt (environ 9 heure 30) par allez visiter un musée de l’histoire de Tokyo qui avait l’air sympa. On a carrément pris un guide qui nous a expliqué un tas de chose très intéressantes, et nous a même emmenés dans une pièce avec des instrument de musique où tu n’a pas le droit d’y aller sans guide. Dans cette salle, il a joué des instrument et nous a dit que on utilisait ceci par faire un bruit de pluie, cela pour faire un bruit de vent etc. Apparemment, on utilisait ces instruments pour un vieux théâtre qui s’appelle Kabuki.

Quand il avait tous raconté, on a visité le bout du musée où il y avait de l’information sur la guerre, des vieille choses (machine à laver, télé, etc), et comment le Japon a montré que il pouvait être moderne. Papa et moi avons perdu les autre et continuons à notre pas. Bizarrement, la section qui parlait de la guerre ne disait pas à propos du bombardement des deux bombes atomiques, et qu’ils ont juste décidé de se préparer pour de prochaines explosions…

Après, nous avons croisé Maman et les autres qui allaient dans le mauvais sens, c’est à dire que ils avaient commencé par la fin de la section de guerre. Peu importe, Papa et moi sommes allé voir ‘moderne Japan’. Tout d’abord, on est allé à l’intérieur de trois petites cabines avec une lampe dans chaque, qui montraient comment la lumière a changé pendant les siècles.

Après, on est allé voir une maquette (toujours dans la section ‘modern Japan’) qui montrait comment les Japonais avaient construit des immeubles avec un look Européen. Cette maquette était sous le sol, avec une fenêtre au-dessus pour qu’on puisse voir. Il y avait aussi une maquette de rue, mais quand soudain… La lumière de la pièce s’éteignait et le toit de la maison sous le sol commençait a bouger et on pouvait voir des gens qui dansaient à une petite musique.

Maman dit que c’est l’heure que je me lave… A demain !

Zoé

Je reprends la main, Zoé doit aller se coucher !
Après le musée, il était 4h de l’après-midi, et avec notre petit déjeuner à 10h, on commençait à avoir faim… (Oui, on est encore bien décalé !) On a trouvé un fast-food à la japonaise (Yoshinoya), où on était à peu près les seuls, c’était parfait. On a mangé sur un grand comptoir, bien alignés.

Ensuite, retour dans le métro pour aller explorer Shinjuku, le quartier des affaires avec ses grandes tours. C’est surtout la mairie qui nous intéressait, parce qu’on peut y monter jusqu’au 45ème étage pour voir une splendide vue de toute la ville. Et ben c’est très grand… et très dense !

Retour à la maison, apéro avec Nanae et Yohan, et repas à base de salade de tomates et d’une banane — on s’est dit que ça nous ferait du bien de manger un truc simple !
On n’a quand même pas pu s’empêcher de tester les KitKat aux goûts dingues qu’on avait achetés la veille :

  • framboise
  • thé vert
  • et le spécial œuf de Pâques, série limitée

On s’est laissé les autres pour demain :

  • sake
  • cheesecake à la fraise
  • rhum raisin
  • wasabi (beurk…)

À demain !

Samuel

Japon jour 3 – Tokyo (Akihabara)

Bonjour (enfin, plutôt bonne après-midi) ! Aujourd’hui, on s’est réveillé à midi moins le quart à cause du bruit des travaux et de la rue. Comme à Paris ! Bref, on n’a pas eu beaucoup de temps pour visiter Akihabara, une rue pleine de magasins de statuettes manga et anime, qui sont des dessins animés Japonais. Il y avait aussi des magasin de souvenirs, qui nous étaient utiles !

En-desous sont des photos des choses qu’on a achetées. Iris a pris un mini katana (sabre japonais), Gaël un éventail avec des fleurs est moi un kimono et un carnet qui vont bien ensemble. Le magasin de manga et d’anime qu’on a visité était plein de petites figurines, et il n’y avait que ça !

Pour un petit gouter (on avait que mangé un petit déjeuner), on est allé à un café avec un thème d’anime, qui servait de la nourriture kawaii (mignon en Japonais)  et était placé dans un grand immeuble où il y avait des déguisements ridicules avec des perruques ridicules. Il y avait aussi d’autres étages, mais on n’a pas eu le temps de regarder.

Maintenant, il est temps de monter dans le train et rentrer chez soi pour prendre une petite pause et après aller manger dans un restaurant traditionnel Japonais où tu t’assoies par terre sur des coussins (même si ce n’est même pas très confortable).

Et là, c’est la fin de la journée. Le moment où on rentre dans notre très petit lit douillet et dort.

 

Zoé

Japon jour 2 – Tokyo ( encore? )

Hé, oui, c’est déjà le deuxième jour de l’aventure au Japon. Je me réveille après avoir dormi 15 heures, de 19 a 10 heure. Pas mal, hein ? Apparemment, Gaël m’a dis que je parlais dans mon sommeil en disant; ‘waaaah !’. Bon ! Assez de dormir. La première chose active qu’on a faite dans la journée, c’était de voir un marché de poisson et manger du sushi, qui me semblait un bon plan. Sauf que, il n’y avait pas que du sushi donc on a pris un petit assortiment. Anne a pris du crabe, Samuel a partagé une sorte d’omelette sucrée Japonaise avec Yohan et Iris est moi on a mangé du riz, chacun préparé différemment. Le reste de la soirée on est resté à un parc très joli, avec quelques arbres de cerisier en fleur (c’est moi qui ai pris quelques une des photos, par exemple celle avec le cerisier qui penche au-dessus de l’eau). Petite sieste dans l’herbe est c’est l’heure d’acheter un ramen et renter chez soi avec des pieds douloureux et des paupières lourdes.

Bonne nuit !

Zoé

Merci Zoé !
Elle a juste oublié de parler de la dernière partie de la journée : nous sommes allés voir un centre commercial à Nakano, près de notre appartement. On cherchait un chargeur pour l’appareil photo, qu’on n’a pas trouvé. Mais il y avait un tas de petites boutiques très marrantes, vendant des figurines de dessins animés, des montres, des babioles, etc.

Allez, elle a raison la miss, il est tard… À demain !

Samuel

Japon jour 1 – Tokyo

Enfin ! Avions atterris (on a dû aller en France, attendre trois heurs et après monter sur le gros avion), bagages récupérées, c’est l’heure de découvrir le Japon pour la première fois. Mais tout d’abord, il faut tout de même trouver notre petit (et je dis petit) appartement. Cet appartement et au 7ieme étage, et ne possède que deux pièces.
Bref, après tout ce bazar, on avait faim. Il y avait un magasin très près de chez nous, avec plein de nourriture japonaise bizarre. Alors bien sûr, on et parti dans une grande aventure de dix minutes de marche avec des jambes et des yeux fatigués (Veuillez regarder les photos en-dessous).

Zoé

Je reprends la main, Zoé est indisponible… Elle était crevée en rentrant des courses. Après elle a pris un bain et elle a sautillé pendant 2 heures, le temps que ses frère et sœur s’endorment. Et elle s’est endormie juste quand on rapportait le dîner. Ses derniers mots furent: “Tu me réveilles quand on mange.”
Mais je n’ai pas réussi, malgré de nombreuses tentatives.

On a passé une très bonne soirée avec Nanaé et Yohan, et maintenant on va aller se coucher…

À demain !

Zoé à Pompéi

À l’école, Zoé a dû faire une rédaction sur leur thème du moment : Pompéi. Il fallait raconter la vie de quelqu’un pendant l’éruption.
Bonne lecture !


Dear diary,

my name is Octavius, and I am the richest (the most important) person in Pompeii. Today, I went to buy some groceries at the market. As soon as I stepped out of my precious, colossal apartment, I could hear the birds sing as they were enjoying the warm rays of sunlight. As much as I wanted to lay down in the soft, emerald green grass, I needed to go buy my lunch. When I got to the market, I went to the nearest fish stall and looked at the price. I asked the stall-owner what the most expensive was, and he said:
“Oh, that be this one, sir!”
As he took out the biggest fish of the lot, it was 10,000 denarius. Even I thought it was slightly expensive just for one fish, but he looked, well, un-taught. So I bought the fish, giving the shopkeeper 10 denarius, and he didn’t notice a thing. The thing is, another man did.
“Go away, you’re not welcome here!”
So of course, I replied.
“I’ll sell you if you’re not carefull.”
And this did the trick.


Dear diary,

this is the start of what seems a fantastic day. First of all, I have nothing planned today. This hasn’t happened in years! So, of course, I take a nap in the grass, where the birds sing me to sleep. When I woke up, I just sat and admired the breathtaking view. As the sun went down on the horizon, Pompeii lit up and that felt like the best moment of my life. But something was not right…

The horses were panicking, the dogs were barking, the birds were screeching. Dusty, black clouds of ash were heading towards me. This did not bother me too much, as the clouds of ash made it calming, in a way. Quite suddenly, the ground started to shake, and I did not feel relaxed. It was a sign that the Gods were angry, but I was not sure why.

Just when I thought things could not get worse, boiling hot rocks shot out of the gentle mountain. With the rocks came fire, which looked like a thousand fireflies shooting out of a rocket. To my great surprise, lava started oozing out like the blood that was about to be shed. Cracks started to form in the ground. The city was panicking…

What was happening? Nobody knew. Were we going to die? Nobody knew. But one thing was for sure. I did not want to die the slightest bit. Fortunately, I had a plan. I rushed inside the house, ran down the flight of stairs like a marble rolling down a hill, and locked myself in the wine cellar. Snap! A rope broke, and a whole building fell to the floor. Crash! A house went down with it. I could hear the peopple screaming, children crying. I peeped through a crack in the wall. Giant fire balls shot out of the mountain like meteorites destroying everything in its path. Almost the whole city was on fire now. Apart from — Bang! Sizzle! One of the rocks had reached my precious mansion! Crackle! Crackle! Now my place was on fire. Bang! The trapdoor fell. There was no escape. In desperation, I tried opening the crack, but it was hard as rock. The lava rushed in.

Goodbye


Now, you might be wondering, how can I write my story if I’m dead? Well, it’s simple. I’m in Hell. Alive people would think that it’s horrible and stress, but it’s actually really boring. No, seriously, there’s nothing to do. That is why I wrote my story.

The end


Une balade à Basildon

Un petit tour en forêt la semaine dernière, autour de Basildon Park était l’occasion de rafraîchir la photo d’en-tête.
Elle en avait bien besoin, la précédente datait d’il y a deux ans et demi, lors de nos vacances au Lake District. Et il y en a qui ont bien changé depuis, suivez mon regard !

Ce coup-ci on n’avait pas oublié les bottes. On était presque déçu de ne pas avoir croisé tellement de boue. Heureusement il y avait une bonne flaque où les filles ont pu patouiller et salir leurs bas de pantalon.
Ouf!

Iris et les bêtes dangereuses

À l’école, Iris fait partie du groupe des more able. Ça veut dire qu’elle réussit bien à l’école, mais aussi qu’elle a des capacités qui ne rentrent pas très bien dans un cadre académique, que l’école essaie d’exploiter et de stimuler avec des activités différentes.

En février, elle avait l’opportunité de faire une présentation devant ce groupe d’élèves, sur le sujet qu’elle voulait.
Au départ, elle ne voulait pas trop. C’est quand même du travail supplémentaire ! On a trouvé un sujet qu’il l’intéressait, et ça a aidé : les animaux dangereux d’Australie ! (Elle regarde beaucoup de documentaires animaliers, et toutes ces bestioles mortelles l’intéressent…) Le prof de karaté a aussi poussé un peu, et finalement elle s’est décidé à le faire.

Elle a beaucoup travaillé, fait des diapos sous Powerpoint, et présenté tout ça la semaine dernière, dans le grand amphi de l’école. Elle avait répété devant Anne auparavant. Elle a rajouté des petites blagues de temps en temps, pour capter l’attention. Bref, elle s’est très bien débrouillé !

Le lendemain, il y avait une réunion parents-profs, et la prof d’Anglais, qui s’occupe aussi des more able, n’a pas tari d’éloges sur sa présentation — et aussi sur son travail. Son seul reproche était qu’Iris ne participe pas assez en classe.
C’était d’ailleurs général chez tous les profs que j’ai pu voir : elle travaille bien, mais la participation est trop faible.
SAUF en drama (théâtre, qui est un cours à part entière ici), où elle est apparemment très à l’aise sur scène, capable de jouer différentes émotions, etc. Le prof a dit que c’était assez courant que les élèves discrets se révèlent dans son cours. Et il a essayé de la recruter pour son option de l’année prochaine…

Voici les slides de la présentation – et non, on n’y a pas assisté donc il n’y a pas de vidéo malheureusement !

Cheval préhistorique

En Angleterre, il y a plusieurs endroits où les hommes préhistoriques ont dessiné des chevaux stylisés sur les collines (par manque de grotte, peut-être…). Nous sommes allés en voir un, le Cheval blanc d’Uffington, pas très loin de chez nous.
La colline en question est le point le plus haut de la région, avec une vue supposée être magnifique… Mais il y avait un tel brouillard qu’on n’a pas vu grand chose !

La purée de pois s’est un peu éclairci au fur et à mesure qu’on marchait. On est passé par une autre colline, supposée être celle où Saint George a occis son dragon, devenant ainsi le saint patron de l’Angleterre !
En redescendant, on a croisé un village typique, avec maisons en toits de chaume, église carrée, cimetière herbeux autour, …

Malgré le temps, c’était quand même une belle balade, dont voici quelques photos !

Magical reindeer food

Dans ce pays, le ridicule ne tue jamais. Il est même parfois fortement encouragé, notamment au moment de Noël !
Anne a découvert dans un supermarché ce petit sachet de nourriture pour rennes magiques ! La composition est indiquée en-dessous : avoine, carottes et… paillettes comestibles.

Le verso explique qu’il s’agit de nourriture pour oiseaux, et que ce n’est pas fait pour nourrir des rennes en captivité, mais uniquement les rennes magiques du Père Noël. Il faut donc répandre le contenu dehors la veille de Noël.

Et bien sûr, les bénéfices vont à une association caritative.