Zoé et le niveau 7

Zoé a terminé son année scolaire vendredi dernier. Elle a encore un an avant le GCSE (~brevet) et 3 ans avant les A-levels (~bac). Elle a eu des supers bons résultats à ses examens blancs : en gros des 8 ou 9 partout, sauf en psychologie où elle plafonne à 6. Ah oui, et la note maximale est 9 🙂
C’est méritoire, parce que ses profs ne l’enthousiasmaient pas beaucoup cette année. (Et ça devrait être les mêmes l’an prochain…)

L’autre grande occupation de sa vie, c’est la flûte traversière, bien sûr ! Elle avait atteint le niveau 5 de flûte l’an dernier, et avait décidé de tenter ensuite directement le niveau 7. Et elle l’a obtenu ! Elle a bossé dessus au moins une heure par jour depuis… des mois. Elle avait 3 morceaux à préparer, des gammes bien pénibles, etc. Le tout s’est très bien passé, et on l’a même trouvée beaucoup moins stressée que les fois précédentes. Je vous mets un de ces morceaux en vidéo ci-dessous, qu’elle a rejoué au concert de l’école de musique.

À part ça, elle lit aussi beaucoup, y compris en français, même si c’est plus dur ! Elle est en train de dévorer les 4 tomes de la série La Passe-miroir à une vitesse dingue… D’ailleurs, le temps que je finisse l’article, ça y est, elle a tout fini !

Pour le moment, elle profite donc de ses vacances, entre copines, bouquins et un petit tour à la salle de sport de temps en temps, histoire de développer son souffle — toujours pour la flûte. Cette année, elle avait un exposé à faire sur le sujet qu’elle voulait. Elle a choisi : Pourquoi la flûte est le meilleur des instruments 😄

Iris et la première année de fac

Iris vient donc de terminer sa première année d’université à York. Elle en a bien profité, à tous les points de vue. Le point culminant fut 2 semaines de fouilles, où ils ont démarré un chantier archéologique qui durera plusieurs années, vers York. Elle a creusé à la verticale d’un ancien poteau, récupéré et trié des échantillons et trouvé le plus gros morceau de torchis du site. Et il n’a même pas plu une seule fois ! La grande question : est-ce que le poteau (et le reste du site !) date d’avant ou d’après l’invasion par les Normands? Les analyses sont en cours…

Elle a aussi cette année repris le karaté, que le Covid avait interrompu. Elle a même pu enfin passer sa ceinture violette — et compte bien ne pas en rester là !
En parlant de couleurs, elle est revenue avec les pointes des cheveux teintes en rose. Ça reste discret ; on attend de voir si c’est une tendance de fond ou si les lavages et les coupes feront disparaître cela…

Elle a également trouvé un logement pour l’année prochaine. (Elle était logée sur le campus jusque là, mais ça n’est plus possible dès la 2ème année.) Elle va se retrouver avec 7 de ses collègues — ceux avec qui elle logeait déjà, en gros — et ils ont loué une grande maison ensemble. On a pu l’installer avec Maxine au début du mois. Oui, il fallait payer le logement tout l’été, bien qu’elle loge chez nous jusqu’en septembre. Propriétaire est un bien beau métier.

Des projets pour cet été ? Elle voudrait démarrer le permis de conduire ! Sans grand enthousiasme, mais elle se dit que ça lui servira bien un jour…

Adieu Singer

Désolée de vous avoir fait attendre, j’ai des choses à raconter car je n’ai pas eu une mais DEUX clientes pendant que j’étais à Bouc Bel Air. La première avait mis une annonce à U express, c’était une dame de l’Ehpad du coin qui avait besoin de modifications pour ses vêtements. Vers mars elle m’a apporté une chemise et un pantalon. Le pantalon se fermait avec un crochet mais un bouton serait plus facile pour elle, donc je l’ai enlevé et l’ai remplacé par un bouton et une boutonnière. La chemise avait des boutons de manchette qu’elle avait perdus, elle m’a demandé de fermer une des boutonnières de chaque manche, et de mettre un bouton normal à la place.

Ma deuxième cliente est une copine de Sylvie qu’on a retrouvé à une guinguette. Sa fille avait besoin d’une nouvelle fermeture éclair à sa jupe et de resserrer la taille d’un short. Ce dernier aura été très simple, en revanche la fermeture éclair s’avérait plus compliquée. Il s’agissait en effet de ma première fermeture éclair. Heureusement la jupe n’était pas doublée, j’ai donc pu étudier comment l’ancienne fermeture a été posée, puis la retirer sans problème. J’ai pris une photo du produit fini parce que quand même, une première fermeture ça ne s’oublie pas!

Et avec tout ça, j’ai eu 40€ de plus dans ma poche! Les humbles débuts d’un empire internationale de couture 😉

Maintenant passons aux choses intéressantes. J’avais quelques patrons d’Angleterre avec moi, dont un pour un portefeuille. J’avais deux tissus qui iraient très bien ensemble: un tissu d’ameublement à motif floral vert, et un satiné violet. Et rien qu’avec ça, j’avais trouvé mon nouveau projet. Normalement il aurait fallu un entoilage, mais je me disais que le tissu d’ameublement sera assez robuste à lui tout seul (j’avais tort, j’ai du piquer un bout de tissu à ma mère pour renforcer). La grosse erreur de ce projet a été faite au tout début, quand j’ai oublié de repasser les tissus avant de couper, surtout le satin, pour qu’ils soient bien plats. Bon, pas grave, la doublure dépassera de l’intérieur. À part ça le projet s’est bien déroulé. J’ai fait la plupart de la couture avec la vieille machine de Sylvie (en faisant bien attention quand même, le satin ça glisse) mais j’ai dû rentrer en Angleterre, ce qui veut dire que j’ai pu faire la boutonnière avec ma machine (vive l’ère moderne!).

Voila, c’est tout pour le moment. Maintenant il faudrait quelque chose pour la fête en Ardèche…

Hellfest

Connaissez-vous le Hellfest ? Plus grand festival de France, en plein air, dans la banlieue de Nantes, avec de la musique… euh… bruyante ! C’est Manu qui y allait pour une journée le 15 juin, et j’ai été invité à accompagner, ce que j’ai accepté avec grand plaisir !
Bon, mais on n’est plus tout jeune, alors on n’a pas pris l’option camping: on s’est pris une nuit d’hôtel.

Le plus impressionnant en arrivant, c’était le monde ! On a fait la queue 2 bonnes heures avant de passer la fameuse “porte des enfers” pour arriver sur le site. Crème solaire oubliée : j’ai choppé un bon coup de soleil dans le coup à ce moment là ! Les scènes sont immenses, avec des écrans géants de chaque côté, et heureusement sinon on ne verrait pas grand chose.

Les décors sont tout autant bluffant. Ah, et les costumes dans le public. Il y avait un peu de tout, avec beaucoup de tatouages, mais le plus à la mode c’était le kilt en cuir, et la corne à la ceinture, pour servir de gobelet. On saura pour la prochaine fois !

Alors on a vu qui?

Coheed and Cambria

Du bon rock progressif — il faut que j’en écoute plus… mais j’ai beaucoup de mal à retenir leur nom !

I prevail

Ça c’est plus “costaud”, mais ça donnait très bien en concert, plein d’énergie.

Generation sex

Une moitié des Sex Pistols qui s’est mise avec Billy Idol pour rejouer leurs tubes d’il y a 40 ans. Ça n’allait pas bien loin.

In Flames

On n’est pas resté, c’était un peu trop. On a changé de scène pour aller voir…

DVNE

Et ça on a beaucoup aimé. Des morceaux longs, du bon rock progressif plein de guitares. Un groupe d’Édimbourg, mais avec un chanteur français. C’est dans ma playlist !

HollYwood Vampires

Un groupe formé par des grosses stars : Alice Cooper, Joe Perry (guitariste de Aerosmith) et… Johnny Depp. Ça ne volait pas très haut malgré les années d’expériences cumulées de tout ce beau monde !

Architects

On a eu l’impression d’entendre le même morceau plein de fois. C’est un groupe connu, mais peut-être mieux en disque qu’en concert.

KISS

Ah, le gros show de la soirée ! Ils avaient mis leurs costumes à paillettes, leur maquillage de théâtre japonais et amené des immense statues (gonflables !) à leur effigie. On a eu plein de flammes, de pétards, de confettis et de feux d’artifice. C’était pro et efficace, on sentait qu’ils avaient fait ça toute leur vie !

Parwkay Drive

Kiss terminait à 1h du mat, mais ils n’étaient pas les derniers ! Parkway Drive ont été mes préférés. Le chanteur est allé faire un tour dans la foule, organisé un mosh pit autour de lui, puis est revenu sur la scène en crowd-surfing, tout en chantant… Des bons morceaux, un super spectacle et plein d’énergie. Je les écoute beaucoup depuis, au grand désespoir du reste de la famille…

Après tout ça, on est rentré au parking (45 min: on a eu un peu de mal à retrouver la rangée !) puis à Nantes (30 min) et on était au lit vers 4h du mat !
Levés vers 8h, certains ayant un avion à prendre. Pas moi : j’ai passé une matinée très sympa à me balader dans Nantes, avant d’aller somnoler dans mon TGV puis mon Eurostar. J’étais content d’avoir un week-end pour me remettre ensuite.

Un grand merci à Manu et Anne-Cécile de m’avoir permis de vivre ça !
Allez, des photos :

Au revoir Marseille

Ou devrais-je dire “au revoir Bouc Bel Air”. Mon périple français s’est terminé le 3 juin. Je repars avec mes médicaments et un nouveau prénom sur l’acte de naissance. Me voila déjà bien plus avancée que 6 mois auparavant, et après 4 ans d’attente ça fait chaud au cœur. Encore un grand merci à tout le monde qui m’a soutenue pendant cette aventure, surtout à Philippe et Sylvie qui m’ont hébergée et conseillée pendant tout ce temps.

Je retourne maintenant en Angleterre pour finir mes études et je ramène avec moi beaucoup d’amour, de beaux souvenirs, et de paperasse 😉

(Je ferai un autre article pour parler de la couture. Il devrait être terminé bientôt)

Coronation

Allez, OK, on va vous faire un article sur ce fameux couronnement. Mais encore une fois, on a l’impression que les media français en font presque plus que les nôtres ! Le Guardian, le journal de gauche de référence, et qui n’aime pas trop la famille royale, a profité de l’occasion pour sortir une série d’articles appelée Cost of the Crown, qui décortique les finances de cette famille, en regardant par exemple ses liens historiques avec l’esclavage, ou en montrant comment ils échappent à plein de taxes ou de règles.

Parmi les gens qu’on connait, quelques personnes veulent abolir la monarchie et se revendiquent carrément républicaines. C’est l’exception, et pour la plupart, la famille royale est tolérée, à condition qu’elle restent à sa place décorative, et qu’elle ne coûte pas trop cher. En tout cas ce n’est plus du tout aussi festif que les célébrations du Queen Jubilee, quelques mois après notre arrivée dans ce pays. Il y a eu quelques fanions, des street parties ici ou là, mais rien de bien massif. Et de toute façon il pleut !

Le gouvernement a fait voter cette semaine, en procédure accélérée, une loi pour limiter le droit de manifester, et même faire des arrestations préventives. Ça a bien sûr servi aujourd’hui, pour mettre à l’ombre quelques mécontents, qui brandissaient des pancartes “Not My King”. Ça commence d’ailleurs à choquer un peu ici, toutes ces pratiques anti-démocratiques.
Ça vous rappelle quelque chose ? 🙂

Bon, enfin, on a eu un jour férié en plus, alors on ne va pas râler !

Eurotrip Préquelle : expo à Paris

Voici un petit article pour raconter une expo que j’ai pu visiter quand je suis allée à Paris. Car oui, j’ai passé une semaine à Paris avant de partir pour Bruxelles. Une copine d’Angleterre venait à Paris pour le week-end du 25, et au lieu de faire un aller-retour puis remonter 10 jours plus tard, j’ai décidé de rester sur place (grand merci à tous mes hôtes: les Barbas et Margaret).

Pendant que je cherchais des trucs à faire pendant ces 10 jours, j’ai trouvé (grâce à Stéphanie) une exposition sur Alphonse Mucha qui venait d’ouvrir. Après avoir raté les robes d’Audrey Hepburn au Palais Galliera et l’expo Mugler au Musée des Art Décoratifs, je n’allais pas laisser passer ça. L’expo se trouve au Grand Palais Immersif (rien à voir avec le Grand Palais, c’est juste à côté de l’Opéra Bastille) et y sera jusqu’à novembre, pour les intéressés 😉

L’expo est assez courte, mais explique très bien sa carrière et son point de vue, bien que ces œuvres soit à Orsay. Il y a une section où ils montrent quelques peinture de Mucha à côté d’œuvres qu’il a inspiré, pour bien comprendre l’impact qu’il a eu et a toujours (d’où le nom “Éternel Mucha”).

Eurotrip : Bruxelles

Bruxelles était la dernière étape de notre trajet. Comme à Vienne, on n’avait que 2 jours et 2 nuits sur place. Et après notre nuit dans le train, on avait besoin d’une activité un peu calme ! On est allé au musée des instruments de musique pour commencer. C’était vraiment sympa, d’abord par le cadre : un magnifique bâtiment Art Nouveau très bien conservé. Ensuite par le concept : on admire des instruments de musique de tous les coins du monde et de toutes les époques, avec des écouteurs qui diffusent la musique faite par ces mêmes instruments. Il y avait des instruments de toutes sortes, certains vraiment originaux. Bref, un bon moment !

Après une petite pause déjeuner, comme le temps était plutôt à la pluie, on est allé se réfugier dans un musée du chocolat. On n’a pas appris grand-chose qu’on ne savait déjà, mais la dégustation à la fin a été bien appréciée : un chocolat praliné au Speculoos, miam !

On est ensuite rentré tranquillement pour passer une bonne nuit (enfin !) dans notre appartement. Le lendemain, c’était une journée dédiée à flâner dans les rues. On a admiré la Grand-Place, et toutes les petites rues piétonnes autour. On a bien sûr vu le Manneken-Pis, mais aussi sa jumelle, plus récente, la Jeanneke-Pis. Par contre, petite déception, à notre dernier passage à Bruxelles, toutes les boutiques de praline avaient des fontaines de chocolat dans les vitrines et offraient des fruits ou des chamallows trempés dedans aux passants, mais tout ça a disparu, peut-être à cause du Covid ?

Ça ne nous a pas empêché de bien manger le midi dans un petit restau italien, qui servait quand même des plats locaux : moules-frites pour Samuel, et carbonnade flamande pour les filles (moi j’ai pris des pâtes, parce que ça ne se refuse pas dans un restaurant italien !)

Toujours en flânant, nous sommes tombés sur un parc très agréable, où un orchestre jouait des airs de Simon et Garfunkel dans le kiosque à musique, et on a pu y voir aussi une exposition en plein air de statues du Chat de Geluck. On a profité de tout ça en mangeant une gaufre.

En passant dans les magnifiques galeries couvertes (galeries royales Saint Hubert), Samuel a aperçu un vieux cinéma qui diffusait un film qu’on avait bien envie de voir mais qui serait difficile à trouver en Angleterre : Suzume, un très bel anime japonais. Du coup, on est revenu le soir après le dîner pour profiter de la projection. C’était vraiment super, parce que ça nous a permis aussi de voir Bruxelles de nuit, toute illuminée et c’était vraiment magnifique.

Le lendemain, c’était départ pour tout le monde : on a d’abord mis Maxine dans son train, direction Paris puis Aix, et nous avons ensuite pris notre Eurostar vers Londres. On gardera un excellent souvenir de ce périple, on a vu beaucoup de choses chouettes, et notre ville préférée restera sans doute Vienne.

Surtout, cela nous a donné l’envie de recommencer. Cette fois-ci, on tenterait bien un voyage vers l’Italie, pour que les filles voient enfin Pompéi (depuis le temps que je leur en parle !), et on pourrait faire tout un tour par Florence, Venise, Rome… À voir !

Eurotrip : train de nuit

C’était le seul train de nuit de notre périple : 14h entre Vienne et Bruxelles, en traversant donc tout le sud de l’Allemagne. Départ à 20h, arrivée à 10h. On n’avait pas pu réserver de couchettes malheureusement, tout était plein, on avait juste des sièges inclinables. Mais comme ce sont des compartiments de 6 personnes, et qu’on en occupait 5 déjà, on espérait bien que la 6ème resterait libre et qu’on serait juste entre nous ! On avait même repéré un compartiment entièrement vide au départ du train.

Ça n’a pas été le cas… Une skieuse est venu nous rejoindre, toute embarrassée. Et après quelques arrêts, toutes les places étaient prises. Les sièges pouvaient s’incliner jusqu’à se toucher au milieu du compartiment. Ça formait donc une couchette, parfaite pour une personne… sauf qu’il y en avait deux sur chaque, bien sûr ! On s’est empilé/encastré comme on a pu, et il parait qu’il y en a qui ont dormi pas trop mal. On n’était quand même pas frais en arrivant !

La prochaine fois, on s’y prendra à l’avance et on choppera des vraies couchettes 😀

Eurotrip : Vienne

Étape suivante : Vienne ! Mais d’abord, on a dû batailler un peu avec les trains allemands… Notre train annonçait 45, puis 90, puis 150 minutes de retard… Pire : il s’arrêtera désormais à Nuremberg au lieu de nous amener jusqu’à Vienne. On a donc dû changer de train, et nous retrouver sans réservation, avec plein d’autre gens dans le même cas, dans la voiture bar, avec un contingent de supporters d’une équipe de foot allemande, bien alcoolisés déjà… Quatre heures comme ça, dont la moitié debout, on était content que ça se finisse !

Vienne donc ! On a adoré cette ville. Elle s’est beaucoup développé pendant le XIXe, avec des petits immeubles très ornés, dans de belles grandes rues. Mais il y a aussi des petits passages couverts très mignons. Et plein de rues piétonnes, avec même des fiacres pour trimballer les touristes. Le bruit des sabots sur les rues pavées… On a l’impression d’être au temps de Sissi, la fameuse impératrice locale.

On avait réservé la première matinée avec un guide, qui nous a promené et raconté plein d’infos sur la ville, mais aussi le pays, la culture, et… les restaurants où aller. On était les seuls avec lui, donc on a pu poser toutes les questions qu’on voulait.

On a passé du temps dans la cathédrale St Étienne, qui est immense, de style gothique flamboyant, et contenant de nombreuses œuvres d’art. On est monté dans les deux tours pour admirer la vue de tous les côtés. Et on est même descendu dans la crypte, pour y voir un ossuaire datant de la dernière peste !

On a également visité le musée du Trésor impérial, avec de magnifiques couronnes, vêtements officiels, reliques religieuses, et même le berceau du fils de Napoléon 1er, qui était du coin ! Ah, et aussi quelques salles dédiées aux Ducs de Bourgogne, pour les Dijonnais.

Bon, mais ce qu’on a préféré, c’est l’art de vivre autrichien. Imaginez Paris, mais au lieu d’une brasserie ou d’une boulangerie à chaque coin de rue, vous mettez les 2 ensemble, et vous avez des Konditorei – des sortes de cafés où on commande des pâtisseries, du café, ou même quelques boisson alcoolisés, et on passe du temps à papoter. On a bien sûr essayé tout ça, et plusieurs fois pour être sûr de bien comprendre !

On est reparti vraiment content d’être passé par là — surtout qu’on y est venu un peu par hasard, parce qu’il y avait un train de nuit qui en partait pour aller à Bruxelles… Mais ça sera le prochain article !